La sculpture est un socle avec un sommet. J’associe l’enracinement d’un socle rigide (inspiré de Brancusi, Zadkine et Bourdelle) à des structures mobiles (hérités de Calder).

 

Mes créations incarnent ainsi ce contraste entre la rigidité et la mobilité, le socle et la tête, la matière et l’esprit, la tristesse et la joie, la colère et la dérision, la vie et la mort.

 

 

En passant par la technique du tournage, rappel mécanique du monde industriel, je façonne l’argile, matière vivante du monde organique, pour sculpter autour du vide des formes pensées et tendre vers cette quête d’équilibre.

 

Je trouve l’inspiration dans l’assemblage des formes industrielles et des déchets de la société, symboles du monde capitaliste, pour les détourner de façon ludique et leur construire une autre histoire.

 

 

 

L'histoire muette des coquecigrues

Les Coquecigrues

Dans les boites à histoires, les Sculptures sont tournées en faïence ou grès émaillé.

Dans le fond des boites, il y a des photographies qui ont inspiré l'histoire. Ce sont des sculptures de petites dimensions 40 x 20 x 10 cm.

Dans le chapitre Portraits : Les sculptures mobiles "Coquecigrues" sont tournées et modelées en grès et porcelaine puis émaillées en haute température (1300°c). Leurs dimensions varient entre 70 cm et 1,50 m de hauteur.

Souriez!!!

 

 

 

Ce n'est pas parce que l'on rit et que l'on aspire à la légèreté, que l'on a perdu la gravité des "choses".